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Mantra Douze

Mantra Doce

Texte

Texto

andhaṁ tamaḥ praviśanti
ye ’sambhūtim upāsate
tato bhūya iva te tamo
ya u sambhūtyāḿ ratāḥ
andhaṁ tamaḥ praviśanti
ye ’sambhūtim upāsate
tato bhūya iva te tamo
ya u sambhūtyāḿ ratāḥ

Synonyms

Palabra por palabra

andham : l’ignorance ; tamaḥ : les ténèbres ; praviśanti : entrent dans ; ye : ceux qui ; asambhūtim : aux devas ; upāsate : rendent un culte ; tataḥ : que cela ; bhūyaḥ : plus encore ; iva : ainsi ; te : ceux ; tamaḥ : les ténèbres ; ye :qui ; u : aussi ; sambhūtyām : dans l’Absolu ; ratāḥ : engagés.

andham — ignorancia; tamaḥ — oscuridad; praviśanti — entran a; ye — aquellos que; asambhūtim — semidioses; upāsate — adoran; tataḥ — que eso; bhūyaḥ — todavía más; iva — como eso; te — aquellos; tamaḥ — oscuridad; ye — quienes; u — también; sambhūtyām — en el Absoluto; ratāḥ — dedicados.

Translation

Traducción

Ceux qui vouent leur culte aux devas s’enfoncent dans les pires ténèbres de l’ignorance ; plus profondément encore s’y enlisent ceux qui se vouent à l’Absolu impersonnel.

Aquellos que se dedican a la adoración de los semidioses entran en la región más oscura de la ignorancia, y peor aún ocurre con los adoradores del Absoluto impersonal.

Purport

Significado

Le mot sanskrit asambhūti désigne les êtres dépendants. Kṛṣṇa, la Personne Absolue, est sambhūti, totalement indépendant.

La palabra sánscrita asambhūti se refiere a los que no tienen una existencia independiente. Sambhūti es la Personalidad Absoluta de Dios, quien es absolutamente independiente de todo. Śrī Kṛṣṇa, la Personalidad Absoluta de Dios, afirma en El Bhagavad-gītā (10.2):

na me viduḥ sura-gaṇāḥ
prabhavaṁ na maharṣayaḥ
aham ādir hi devānāṁ
maharṣīṇāṁ ca sarvaśaḥ
na me viduḥ sura-gaṇāḥ
prabhavaṁ na maharṣayaḥ
aham ādir hi devānāṁ
maharṣīṇāṁ ca sarvaśaḥ

« Parce qu’ils procèdent tous de Moi, ni les devas, ni les grands sages ne connaissent Mon origine et Mon opulence. »

Dans la Bhagavad-gītā (10.2), Il affirme qu’Il est la source de tous les pouvoirs délégués aux devas, aux grands sages et aux yogīs. Mais parce que les pouvoirs qu’Il leur donne sont limités, il leur est très difficile de comprendre comment, par Sa puissance interne, Kṛṣṇa apparaît en ce monde, sous l’aspect d’un humain.

“Ni las legiones de semidioses ni los grandes sabios conocen Mi origen, pues en todos los aspectos, Yo soy la fuente de los semidioses y de los sabios”. Kṛṣṇa es entonces el origen de los poderes delegados a los semidioses, a los grandes sabios y a los místicos. Aunque ellos están dotados de grandes poderes, les es muy difícil saber cómo es que Kṛṣṇa Mismo aparece en la forma de un hombre gracias a Su propia potencia interna.

Plusieurs philosophes et ṛṣis (penseurs mystiques) cherchent à distinguer le relatif de l’Absolu à l’aide de leurs facultés mentales limitées ; cela ne peut que leur permettre d’aboutir à une conception incomplète de l’Absolu, négative et dénuée de tout aspect positif. À force de négations, ils en viennent à fabriquer leur propre notion de l’Absolu, avec l’idée, finalement, qu’Il est sans forme ni attributs. Mais ces qualités négatives qu’ils Lui accordent ne sont que l’inverse des qualités matérielles relatives, et sont donc encore relatives. Une telle conception permet tout au plus d’atteindre le Brahman impersonnel, la radiance qui émane de Dieu, mais ne donne aucun accès à la réalisation de Bhagavān, la Personne Suprême dotée d’attributs spirituels et absolus.

Todos los filósofos y grandes ṛṣis, o místicos, tratan de distinguir el Absoluto de lo relativo usando su minúscula capacidad mental. Esto únicamente puede ayudarlos a llegar al punto de negar la relatividad pero sin comprender ningún indicio positivo del Absoluto. La definición del Absoluto usando negaciones es incompleta. Esas definiciones negativas lo conducen a uno a crear su propio concepto, y así se imagina que el Absoluto debe carecer de forma y de cualidades. Las cualidades negativas son únicamente el opuesto de las cualidades positivas, y por lo tanto también son relativas. Al concebir al Absoluto de esta forma, uno puede alcanzar a lo sumo el resplandor impersonal de Dios, conocido como el Brahman, pero no puede progresar hasta llegar a Bhagavān, la Personalidad de Dios.

Ces ergoteurs ignorent que Kṛṣṇa est cette Personne Absolue, que le Brahman impersonnel n’est que l’éclat irradiant de Son corps transcendantal, et que le Paramātmā est l’Âme Suprême, le Seigneur dans Son aspect omniprésent. Kṛṣṇa possède une forme transcendantale, éternelle, toute de connaissance et de félicité. Mais les devas et les yogīs Le considèrent comme un deva très puissant et croient que la lumière du Brahman est la Vérité Absolue. Les bhaktas, en raison de leur abandon et de leur dévotion pure, comprennent facilement que la Vérité Absolue est Kṛṣṇa, la Personne Suprême dont tout émane, et se vouent à Son service.

Tales especuladores mentales no saben que Kṛṣṇa es la Personalidad Absoluta de Dios, que el Brahman impersonal es el resplandor deslumbrante de Su cuerpo trascendental, y que Paramātmā, la Superalma, es Su representación omnipenetrante. Ellos tampoco saben que Kṛṣṇa tiene Su forma eterna con cualidades trascendentales de bienaventuranza y conocimiento eternos. Los semidioses dependientes y los grandes sabios consideran imperfectamente que Él es un poderoso semidiós, y que el resplandor del Brahman es la Verdad Absoluta. Sin embargo, los devotos de Kṛṣṇa que se entregan a Él con devoción pura, pueden saber que Él es la Persona Absoluta y que todo emana de Él. Semejantes devotos prestan continuamente servicio amoroso a Kṛṣṇa, quien es la fuente de todo.

La Bhagavad-gītā (7.20–23) explique que seuls les gens sans intelligence, esclaves de leurs sens, rendent un culte aux devas pour être soulagés de leurs difficultés, car les devas n’offrent que des solutions provisoires à des problèmes temporaires. L’être vivant est prisonnier de la matière, et il doit s’en affranchir entièrement pour être à jamais soulagé de ses maux, en atteignant une existence spirituelle, toute d’éternité, de connaissance et de félicité. C’est pour cela que la Śrī Īśopaniṣad nous enjoint de ne pas chercher auprès de devas subordonnés les bienfaits temporaires qu’ils peuvent apporter pour soulager nos misères, mais nous recommande plutôt d’adorer Dieu, Kṛṣṇa, la Personne Absolue et infiniment fascinante, seul capable de nous libérer définitivement de la matière en nous ramenant auprès de Lui.

En El Bhagavad-gītā (7.20) también se dice que únicamente las personas confundidas, impulsadas por un fuerte deseo de satisfacer sus sentidos, adoran a los semidioses con el fin de resolver los problemas temporales. Sólo aquellos que carecen de inteligencia buscan el alivio temporal a ciertas dificultades como una solución, el cual es otorgado por la grandeza de algún semidiós. Ya que el ser viviente está enredado materialmente, tiene que ser liberado por completo del cautiverio material para poder alcanzar la satisfacción permanente en el plano espiritual, donde existen la bienaventuranza, la vida y el conocimiento eternos.

Toujours dans la Bhagavad-gītā (7.23), il est dit que les adorateurs des devas iront sur leur planète. Ceux qui vénèrent la lune iront sur la lune, ceux qui vénèrent le soleil iront sur le soleil, etc. La volonté des savants modernes d’atteindre les différentes planètes n’est en rien une nouveauté. Il est naturel que l’homme, doté d’une conscience supérieure, cherche à voyager dans l’espace et à se rendre sur d’autres planètes, que ce soit à l’aide d’engins spatiaux, en rendant un culte aux devas, ou encore par l’intermédiaire de pouvoirs surnaturels. Les Écritures védiques reconnaissent l’efficacité de ces trois méthodes, mais la plus communément employée est le culte des devas, grâce auquel on peut même atteindre la planète la plus évoluée de l’univers matériel, Brahmaloka. Mais toutes les planètes régies par les devas ne sont que des refuges temporaires ; seules sont permanentes les planètes Vaikuṇṭhas, situées dans le monde spirituel où Dieu Lui-même réside, ainsi que l’affirme Kṛṣṇa dans la Bhagavad-gītā (8.16) :

También se afirma en El Bhagavad-gītā (7.23) que los adoradores de los semidioses pueden ir a los planetas de los semidioses. Los adoradores de la Luna pueden ir a la Luna, los adoradores del Sol al Sol, etc. Los científicos modernos se están aventurando ahora a ir a la Luna con la ayuda de cohetes, pero esta tentativa no es en realidad nueva. Teniendo una conciencia desarrollada, los seres humanos se sienten inclinados en forma natural a viajar por el espacio exterior y llegar a otros planetas, ya sea con naves espaciales, poderes místicos, o adoración a los semidioses. En las Escrituras védicas se dice que es posible llegar a otros planetas en cualquiera de estas tres formas, pero la forma más común es por adorar al semidiós que preside ese planeta particular. Sin embargo, todos los planetas del universo material son residencias temporales; los únicos planetas permanentes son los Vaikuhalokas. Éstos se encuentran en el cielo espiritual, y la Personalidad de Dios Misma los domina. Tal como se afirma en El Bhagavad-gītā (8.16):

ā-brahma-bhuvanāl lokāḥ
punar āvartino ’rjuna
mām upetya tu kaunteya
punar janma na vidyate
ā-brahma-bhuvanāl lokāḥ
punar āvartino ’rjuna
mām upetya tu kaunteya
punar janma na vidyate

« Ô fils de Kuntī, toutes les planètes de l’univers, de la plus évoluée à la plus basse, sont des lieux de souffrance où se succèdent la naissance et la mort. Mais il n’est plus de renaissance pour l’âme qui atteint Mon royaume. »

“¡Oh, hijo de Kuntī!, Desde el planeta más elevado del mundo material, hasta el más bajo, todos son lugares de sufrimiento donde ocurren repetidamente el nacimiento y la muerte. Pero aquel que alcanza Mi morada nunca vuelve a nacer”

La Śrī Īśopaniṣad souligne que ceux qui rendent un culte aux devas et parviennent ainsi à leurs planètes restent prisonniers des ténèbres de l’univers matériel. En effet, l’univers entier est enveloppé de gigantesques couches d’éléments matériels. On le compare pour cela à une noix de coco recouverte d’une écorce épaisse et à demi remplie d’eau. Comme il est hermétiquement clos, l’obscurité totale y règnerait s’il n’était parsemé d’astres lumineux comme le soleil et la lune. Au-delà de l’univers matériel se trouve le brahmajyoti irradiant de Dieu, qui s’étend à l’infini et contient d’innombrables planètes spirituelles (Vaikuṇṭhas). Parmi elles, Kṛṣṇaloka, où demeure la Personne Suprême, est la plus élevée et la plus importante. Mais bien qu’Il ne quitte jamais Sa demeure, où Il vit en compagnie de Ses compagnons éternels, Kṛṣṇa est omniprésent, dans l’univers matériel comme dans le monde spirituel. Le quatrième mantra expliquait déjà ce fait inconcevable en comparant le Seigneur au soleil, qui, par sa lumière, est partout présent, tout en restant invariablement sur son orbite.

El Śrī Īśopaniṣad señala que uno permanece en la región más oscura del universo al rondar por los planetas materiales usando cualquier medio. El universo entero está cubierto por los elementos materiales gigantescos, al igual que un coco cubierto por su corteza. Ya que su cubierta es hermética, la oscuridad interna es total y por lo tanto se necesitan soles y lunas para iluminarlo. Fuera del universo se encuentra la vasta e ilimitada expansión brahmajyoti, la cual está repleta de Vaikuhalokas. El planeta más elevado del brahmajyoti es Kṛṣṇaloka o Goloka Vndāvana, donde reside Śrī Kṛṣṇa Mismo, la Suprema Personalidad de Dios. El Señor Śrī Kṛṣṇa nunca abandona Kṛṣṇaloka. Aunque Él vive ahí con Sus asociados eternos, también se encuentra omnipresente a través de todas las manifestaciones cósmicas materiales y espirituales. En el Mantra Cuatro ya se ha explicado este hecho. El Señor está presente en todas partes al igual que el Sol, y a pesar de eso está situado en un solo lugar, así como el Sol que está situado en su propia órbita constante.

On ne peut pas résoudre les problèmes vitaux simplement en allant sur la lune ou sur quelque autre planète. C’est pour cette raison que la Śrī Īśopaniṣad nous avertit de l’inutilité d’atteindre l’une ou l’autre des planètes de cet obscur univers, et nous conseille de quitter ce monde matériel une fois pour toutes pour nous rendre dans le royaume resplendissant de Dieu. Et pourtant, bon nombre d’hypocrites, faisant montre de piété pour la réputation seulement, ne désirent nullement quitter le monde matériel et se rendre sur les planètes spirituelles ; ils prétendent adorer le Seigneur, mais ne cherchent en fait qu’à maintenir leur situation ici-bas. Les athées et les impersonnalistes entraînent tous ces imposteurs vers les profondes ténèbres de l’ignorance par leur propagande. L’athée nie directement l’existence de Dieu, la Personne Suprême, et l’impersonnaliste, lui, l’appuie en présentant comme ultime Son aspect impersonnel. Or, aucun des mantras de la Śrī Īśopaniṣad ne nie la Personnalité de Dieu. Il y est dit au contraire que le Seigneur peut Se déplacer plus vite que quiconque ; et, puisque tous ceux qui cherchent à atteindre les diverses planètes sont des personnes, pourquoi alors considérer comme impersonnel Celui-là même qui peut les dépasser tous ? En fait, la conception impersonnelle du Seigneur est une autre forme d’ignorance, issue d’une vision imparfaite de la Vérité Absolue.

Los problemas de la vida no pueden resolverse con sólo ir a la Luna. Hay muchos adoradores falsos que se vuelven religiosos únicamente para alcanzar renombre y fama. Semejantes religiosos falsos no quieren salir de este universo y llegar al cielo espiritual. Ellos únicamente quieren mantener el statu quo en el mundo material so pretexto de adorar al Señor. Al predicar el culto del ateísmo, los ateos y los impersonalistas encaminan a esos necios religiosos falsos hacia las regiones más oscuras. Los ateos niegan directamente la existencia de la Suprema Personalidad de Dios, y los impersonalistas los apoyan al hacer hincapié en el aspecto impersonal del Señor Supremo. Hasta ahora no hemos encontrado ningún mantra de El Śrī Īśopaniṣad que niegue a la Suprema Personalidad de Dios. Se dice que Él puede correr más rápido que cualquiera. Aquellos que están corriendo hacia otros planetas ciertamente son personas, y si el Señor puede correr más rápido que todos ellos, ¿cómo es posible considerarlo impersonal? El concepto impersonal que se tiene del Señor Supremo es otra forma de ignorancia que surge por tener un concepto imperfecto sobre la Verdad Absoluta.

Ces prétendus spiritualistes pétris d’ignorance et les fabricateurs de pseudo-incarnations divines transgressant ouvertement les règles védiques seront condamnés à renaître dans les régions ténébreuses de l’univers, car ils trompent et égarent leurs adeptes. Si les impersonnalistes peuvent se prétendre des avatāras, c’est que leur public ignore tout de la sagesse védique. Quand de tels charlatans acquièrent un peu de connaissance, ce savoir entre leurs mains devient plus dangereux que l’ignorance totale. Les impersonnalistes ne vénèrent même pas les devas,comme le recommandent les Écritures. En effet les Écritures recommandent l’adoration des devas en certaines circonstances, tout en précisant que ce culte n’est pas nécessaire en temps normal. La Bhagavad-gītā (7.23) indique clairement que le culte des devas donne seulement des résultats temporaires car, l’univers matériel étant impermanent, tout ce qu’on y obtient l’est également. La question est de savoir comment obtenir la vie véritable et permanente.

Los religiosos falsos e ignorantes y los manufacturadores de las así llamadas encarnaciones, quienes violan directamente los mandamientos védicos, están expuestos a entrar en la región más oscura del universo por descarriar a sus seguidores. Estos impersonalistas generalmente se hacen pasar por encarnaciones de Dios ante los necios que ignoran la sabiduría védica. Si esos tontos tienen algún conocimiento, en sus manos es más peligroso que la ignorancia misma. Semejantes impersonalistas ni siquiera adoran a los semidioses en la forma recomendada en las Escrituras. En las Escrituras se recomienda adorar a los semidioses en determinadas circunstancias, pero a la vez se declara que normalmente no es necesario hacerlo. En El Bhagavad-gītā (7.23) se afirma claramente que los resultados obtenidos al adorar a los semidioses no son permanentes. Ya que el universo material total no es permanente, todo logro obtenido dentro de la oscuridad de la existencia material tampoco será permanente. El problema consiste en cómo obtener una vida real y permanente.

Le Seigneur affirme que celui qui parvient jusqu’à Lui par le service de dévotion — seule voie menant à Dieu — échappe définitivement à l’emprise des morts et des renaissances. En d’autres termes, la libération de l’existence matérielle dépend tout entière de la connaissance et du renoncement acquis en servant le Seigneur. Mais les pseudo-spiritualistes ne possèdent ni cette connaissance, ni ce détachement. La plupart d’entre eux choisissent de rester captifs des chaînes dorées de l’existence matérielle, sous le couvert d’activités philanthropiques accomplies au nom de la religion. Ils feignent de pratiquer le service de dévotion en exhibant de prétendus sentiments religieux, tout en se livrant à toutes sortes d’actes immoraux. Ils se font ainsi passer pour des maîtres spirituels et des dévots de Dieu, alors qu’ils enfreignent les principes religieux et méprisent l’autorité des ācāryas appartenant à une véritable filiation spirituelle. Ils ne font aucun cas de l’injonction védique ācāryopāsana — « L’ācārya doit être vénéré », ni de la parole de Kṛṣṇa dans la Bhagavad-gītā (4.2) : evaṁ parampāra-prāptam — « La science suprême de Dieu est transmise à travers une lignée disciplique. » Au lieu de cela, ils égarent les populations en se disant ācāryas alors qu’ils n’en suivent pas les règles de vie.

El Señor afirma que tan pronto como uno llega a Él mediante el servicio devocional - que es el único camino para acercarse a la Personalidad de Dios - se libera completamente del cautiverio del nacimiento y de la muerte. En otras palabras, el sendero para salvarse de las garras materiales depende completamente de los principios del conocimiento y del desapego. Los religiosos falsos no tienen ni conocimiento ni desapego de las cuestiones mundanas, ya que en su mayoría quieren vivir con los grilletes dorados del cautiverio material bajo la sombra de las actividades altruistas y filantrópicas, aparentando seguir los principios religiosos. Exhibiendo falsos sentimientos religiosos, ellos presentan una comedia de servicio devocional, mientras continúan incurriendo en todo tipo de actividades inmorales. Ellos se hacen pasar por maestros espirituales y devotos de Dios. Esos violadores de los principios religiosos no respetan a los ācāryas autoritativos, los maestros santos que están en la estricta sucesión discipular. Ellos se convierten en así llamados ācāryas para descarriar a las personas en general, pero ni siquiera siguen los principios de los ācāryas.

Ces mystificateurs constituent l’élément le plus néfaste de la société, et parce que les gouvernements actuels ignorent les principes religieux, ils peuvent donner libre cours à leurs actes criminels sans être punis par la loi humaine. Mais ils n’échapperont pas à celle de Dieu. Kṛṣṇa déclare sans équivoque dans la Bhagavad-gītā(16.19–20) que ces envieux démoniaques déguisés en apôtres de la religion seront jetés dans les régions les plus obscures des planètes infernales. Ce que confirme la Śrī Īśopaniṣad en déclarant que ces prétendus religieux, simplement appâtés par les jouissances matérielles, seront relégués dans les régions les plus ignobles de l’univers dès que s’achèvera leur imposture.

Estos bribones son los elementos más peligrosos de la sociedad humana. Ellos se escapan del castigo de las leyes del Estado porque no existe un gobierno religioso. Sin embargo no pueden escapar a las leyes del Supremo, quien ha manifestado claramente en El Bhagavad-gītā (16.19-20) que los demonios envidiosos disfrazados de propagandistas religiosos, serán arrojados a las regiones más oscuras del infierno. El Śrī Īśopaniṣad confirma que estos religiosos falsos se están dirigiendo al lugar más inmundo del universo después de terminar su negocio de maestros espirituales que únicamente llevan a cabo para satisfacer sus sentidos.